Le choix de l’assurance fraude minoritaire auprès des PME

28/12/2018
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Si les risques informatiques qui inquiètent le plus les dirigeants de PME sont multiples et variés (emails frauduleux, piratage des données, malwares, perte ou vol de matériel informatique, fraude, malversation, escroquerie, etc.), leurs conséquences le sont tout autant…

Suite à une attaque ou une fuite de données, les dirigeants de PME interrogés dans le cadre d’une étude IFOP pour Kaspersky Lab et Allianz Trade sont particulièrement préoccupés par :

  • La divulgation d’informations confidentielles (63%),
  • L’impact négatif sur la réputation de l’entreprise (38%),
  • Les pertes d’exploitation / de chiffre d’affaires (30%),
  • Les pertes financières directes (28%)
  • La cyber extorsion (17%).
Il n’y a pas de bonne raison d’être payé en retard !
« Trois conséquences du top 5 font directement référence à un impact financier. Les PME françaises ont compris que leur trésorerie est en première ligne, mais prennent-elles les dispositions nécessaires pour se protéger ? La perte financière liée à une fraude ou une cyber-attaque est assurable, ce qui signifie que les entreprises n’ont pas à en supporter le préjudice. Pourtant, le choix de l’assurance reste minoritaire : moins d’une PME sur deux est assurée contre ces risques. Les PME sont conscientes de leur exposition, mais pas des moyens qui existent pour la réduire », explique Sébastien Hager, Responsable de la souscription assurance fraude chez Allianz Trade France.