1. Répartissez vos risques
Lorsque vous comptez sur la réussite d’une opération d’envergure pour sécuriser votre trésorerie, il se peut que celle-ci doive faire face à des difficultés à surmonter. La répartition des risques est essentielle pour un bon entrepreneur. Il va sans dire que cette règle s’applique à la fois aux clients et aux fournisseurs. Si l’ensemble de votre chiffre d’affaires repose sur 5 clients qui représentent chacun 20 % de votre revenu global, vous ne disposez pas d'une grande marge de manœuvre. Un seul mauvais payeur pourrait menacer la totalité de votre flux de trésorerie. Il en va de même si le bon fonctionnement de votre entreprise ne dépend que d'un fournisseur crucial. Son incapacité à vous livrer pour quelque raison que ce soit, pourrait compromettre la pérénité de votre activité. Qui plus est, une relation basée sur la dépendance entrave votre flexibilité à négocier les meilleurs prix.
2. Ne gaspillez pas votre capital humain
Investir dans son capital humain est crucial pour une société. Néanmoins, engager et former une main-d'œuvre qualifiée coûte cher. N’hésitez pas à communiquer les points à améliorer au personnel nouvellement engagé. Accordez-lui suffisamment de temps pour s’adapter et se perfectionner, mais ne tolérez pas l’improductivité. Un bon processus d’intégration et une orientation attentive sont essentiels.
3. Identifiez vos alliés
Savez-vous à qui vous avez à faire lorsque vous concluez des partenariats commerciaux ? Les petites entreprises B2C ne peuvent pas toujours se permettre de séléctionner leurs clients, mais il n’y a pas de mal à faire preuve d’une saine vigilance. Les antécédents financiers, par exemple, peuvent s’avérer être un critère de poids dans l’estimation des délais de paiement à appliquer ou encore des clauses contractuelles à definir. Il en va de même pour les nouveaux fournisseurs : n’ayez pas peur de placer la barre haute.